|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
Pour un référendum sur l’avenir du service public postal
26/02/2009 08:14
Le projet de privatisation de La Poste n’est malheureusement que la suite logique du démantèlement du service public français voulu et imposé par Bruxelles, avec bien évidemment l’accord des gouvernements qui se sont succédés depuis plusieurs années.
Or nous constatons tous au quotidien que le service public postal joue dans notre société un rôle de premier plan, ne serait-ce qu’en matière d’aménagement du territoire. Et contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, le maintien du statut public n’interdit pas à la Poste de se moderniser, ce qui est d’ailleurs le cas depuis plusieurs années.
Et aujourd’hui, alors que nous sommes en pleine crise économique, que le capitalisme fou est en train de chanceler, qui peut encore être assez naïf pour croire qu’un actionnaire privé financera des missions de service public qui ne sont pas toutes rentables ? Qui peut encore croire que jamais l’Etat n’ouvrira l’intégralité du capital de la Poste ? Souvenons-nous de ce qui s’est passé avec EDF. Il s’agissait des mêmes promesses, faites par les mêmes personnes (le président de la Commission sur le développement de La Poste, Mr Ailleret, n’était-il pas également l’ancien président d’EDF ?), et nous avons vu le résultat ! Alors, Monsieur Sarkozy peut nous promettre que le capital de la SA « La Poste » restera à 100% public, personne n’est dupe.
C’est donc à raison que les représentants syndicaux de La Poste parlent de « privatisation rampante » et c’est pourquoi DLR soutient l’initiative du Comité National contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur l’avenir du service public postal. Il appartient en effet aux citoyens de s’exprimer sur ce sujet fondamental.
Et pendant que nous nous mobilisons aujourd’hui pour le service public postal et, dans une plus large mesure, pour la défense de la notion même de service public, les enseignants, chercheurs et étudiants luttent pour le maintien d’un enseignement supérieur de qualité. Nombreux sont donc celles et ceux qui refusent de voir notre pacte républicain ainsi malmené de toute part.
Il serait donc temps que le gouvernement comprenne que la contestation est générale et qu’il serait bon pour lui de cesser de prendre ses ordres de Bruxelles.
Quant à nous, le moment est venu de tirer les enseignements de nos luttes. La privatisation de La Poste, pour ne prendre que ce thème, n’a pas été décidée à l’Elysée mais à Bruxelles. C’est donc au sein des institutions européennes que nous devons continuer le combat.
Les élections de juin 2009 seront donc l’occasion pour les français de soutenir des hommes et des femmes soucieux de l’intérêt général, et qui se présenteront à leurs suffrages pour défendre des idées et des convictions et non simplement pour se faire une jolie place au soleil.
C’est pourquoi nous devons nous rassembler aujourd’hui pour nous doter demain des moyens qui nous permettront de changer véritablement les choses. »
Pour lire la lettre ouverte remise au président : http://www.appelpourlaposte.fr/
Commentaire de Anthéa (26/02/2009 09:01) :
Le problème qui se pose avec la Poste est exactement le même pour
l'ensemble des services publics. L'Europe nous conduit vers la
privatisation générale des services. La privatisation d'un service
public n'est rien d'autre qu'une étape vers la création
d'un monopole privé et la mise sous dépendance des usagers,
transformés en consommateurs soumis du fait d’une absence de choix. C’est
également la course au moins-disant social. La compétitivité économique
impose une baisse des coûts de production induisant une stagnation, voir
une baisse des salaires amenant une précarité des emplois. Cette même
compétitivité, ainsi qu’une course effrénée à la rentabilité immédiate, a
amener les entreprises à délocaliser. Il faut sortir de ce cercle vicieux
en repensant notre économie. Nous possédons un savoir faire industriel qui
garantit notre indépendance. Nous devons pouvoir acheter ce que nous
produisons pour garantir l'équilibre économique du pays et pouvoir
redistribuer les richesses issues du travail. De plus, cette option colle
parfaitement avec l’effort écologique que nous nous devons de faire.
Importer à outrance génère, outre des suppressions d’emplois et de la fuite
de capitaux, de la pollution (transport, production non contrôlée…). La
crise d’aujourd’hui n’est que la résultante de l’hyper – libèralisme. Il
est temps de penser une nouvelle économie.
|
Commentaire de Commando D7 (26/02/2009 09:44) :
Hausse du chômage + 90.200 chômeurs en Janvier, soit + 4,3 % . Pour
rappel, le précédent record daté de Novembre 2008 avec + 64.000. Sarkozy
avait promis de s’attaquer au travail durant sa mandature, il a tenu
parole… A ce rythme, en 2012, il n’y aura plus de travail en France !
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Ne laissons pas mourir notre agriculture.
24/02/2009 09:08
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/index.php/post/2009/02/23/Ne-laissons-pas-mourir-notre-agriculture
Commentaire de Valmy (24/02/2009 10:28) :
L’Europe actuelle est une impasse qui si elle persiste pourrait très bien
disparaître devant la colère populaire… Délocalisations à outrance, Euro
trop chère, carcan législatif absurde, la liste des absurdités de cette «
Métropolis » est longue… Alors avant que n’arrive la révolte, une solution
se présente encore… En juin votons massivement DLR !
|
Commentaire de CSP (24/02/2009 10:31) :
Ce petit mot pour vous dire que je partage entièrement votre opinion sur
cette Europe devenue le frein de la France et qu’en juin je n’hésiterai pas
à voter pour votre mouvement que je juge salvateur
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Ne laissons pas mourir notre agriculture.
24/02/2009 08:31
En quelques années, le prix du bœuf a augmenté de 50% sur nos étals alors que dans le même temps, le prix payé à l’éleveur a baissé de 15% !
A lui seul, cet exemple symbolise le danger qui menace notre monde rural, négligé depuis 25 ans par les partis de gouvernement, de droite comme de gauche, et livré à lui-même dans la dérégulation eurolibérale.
Nos terroirs souffrent en effet à la fois :
de la réforme des Traités européens (le Traité de Lisbonne abolit la possibilité de veto des Etats membres dans les accords commerciaux signés à l’OMC) ;
de contraintes extérieures (démantèlement de la Politique Agricole Commune) qui dévitalisent le tissu agricole ;
du recul de la quantité de terres valorisées ;
de pressions spéculatives sur le foncier et le bâti ;
d’une absence de cap clair dans les politiques publiques.
A ces menaces, il est urgent de répondre par une politique globale d’équilibre des territoires, de relance et de modernisation de l’agriculture, et de réorientation radicale des échanges internationaux.
Les premières mesures concrètes à mettre en œuvre :
Le rééquilibrage entre producteurs et distributeurs, en mettant fin à la domination scandaleuse des centrales d’achat sur l’agriculture française ;
L’instauration d’une exception agricole à l’OMC (sur le modèle de l’exception culturelle) pour permettre l’autosuffisance alimentaire sur chaque continent ;
La reconstruction de la PAC ;
La révision des accords avec les Etats-Unis, qui interdisent à l’Europe l’autosuffisance pour certaines productions agricoles.
Le renforcement des aides à l’installation des jeunes agriculteurs.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président de Debout la République
Commentaire de Anthéa (24/02/2009 09:53) :
Union Européenne ? non merci, nous sommes lassés de cette engeance qui
asservis un petit peu plus chaque jours, les Français dans la
mondialisation inhumaine et anti-sociale
|
Commentaire de bon sens tout simplement (24/02/2009 10:30) :
Il faut sortir de cette forme d’Europe supranationale et mondialiste de
l’Acte unique et des traités de Maasttricht et de Lisbonne pour revenir au
protectionnisme du traité de Rome et au contrôle des changes. Il faut
revenir aussi à un système monétaire garanti par une valeur physique et des
taux de changes fixes mais périodiquement ajustables
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le canard sans tête bruxellois.
23/02/2009 16:58
Depuis le début de la crise, j’ai fait preuve de prudence face aux déclarations des dirigeants européens qui, la main sur le cœur, n’ont eu de cesse d’affirmer qu’ils feraient tout ce qu’il faut pour juguler crise, au besoin en remettant en cause les sacro-saints dogmes du Pacte de Stabilité.
Prudence car, à y regarder de plus près, on voyait bien que la Commission de Bruxelles, qui se montrait plus discrète que résignée, lançait un autre son de cloche, acceptant provisoirement, à la manière d’un célèbre personnage de Molière, de fermer les yeux sur « ces déficits qu’elle ne saurait voir… »
Mais chassez le naturel, il revient au galop, et même s’agissant de la Commission européenne, au triple galop. Il n’a pas fallu deux mois pour que les docteurs de la foi de Bruxelles et Francfort émettent des réserves, puis des mises en garde contre les plans nationaux de sauvetage des banques, rendus indispensables par l’incurie d’une Union à 27 hélas incapable de relever le défi historique d’une réaction coordonnée face à l’une des pires catastrophes économique que le monde ait jamais connu.
Alors bien sûr, des chroniqueurs bien-pensants nous ont depuis expliqué qu’il fallait en chercher les responsables parmi les dirigeants ultralibéraux et eurosceptiques comme Vaclav Klaus, le président de la République tchèque actuellement en charge de la présidence tournante de l’UE. Mais c’est surtout pour mieux exonérer l’aveuglement idéologique d’instances communautaires toutes-puissantes et irresponsables, véritable nœud gordien du problème.
Et puis, en quoi les divergences entre pays européens peuvent-elles être tenues responsables des bâtons dans les roues mis systématiquement par les autorités bruxelloises dans la politique des Etats pour endiguer le cercle infernal de la crise ?
Après avoir chipoté sur l’aide aux banques, la Commission a vite repris du poil de la bête en contestant les aides sectorielles à l’économie réelle, comme le plan d’aide à l’automobile française, accusé de favoriser les emplois et les industries de notre pays. Pensez donc : que l’argent des Français serve prioritairement aux Français, voilà qui constitue une hideuse manifestation de nationalisme !
Enfin, une procédure pour déficits excessifs a été enclenchée mercredi dernier par le Commissaire (on a envie d’ajouter « du peuple ») aux affaires économiques et monétaires contre six pays, dont la France. Bien sûr, Christine Lagarde et Eric Woerth ont protesté… en pure perte. Ils contestent tout deux l’analyse de la Commission, qui est certes contestable mais qui, conformément aux traités européens signés et contresignés par leurs amis depuis vingt ans, donnent au collège bruxellois un pouvoir sans limite pour taper sur les doigts des Etats. Mais pourquoi ne pas avoir réfléchi à deux fois avant de signer ces traités ? Pourquoi ne pas avoir médité avant la fameuse formule de Bossuet : « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes » ?
Au chapitre de la stabilité financière, il est bien évidemment absurde de mettre la France dans le même panier que l’Espagne, le Portugal et la Grèce. Rapporté par le blog de Jean Quatremer, peu suspect d’euroscepticisme, une étude de l’agence américaine de notation Moody’s classe la France parmi les pays les plus capables de supporter et rembourser leurs dettes, loin devant la Grande-Bretagne, les Etats-Unis ou l’Espagne (pour ne parler que de ces pays)…
Mais Bruxelles, l’œil rivé sur ses graphiques plus ou moins arbitraires, n’en a cure. Même désavouée par la réalité, elle continue à professer l’absurde, tel un canard sans tête qui continue à marcher sans but.
Lorsqu’il était parti plaider la cause du livret A au sein des instances communautaires, en pure perte là aussi, un ministre français, exaspéré par la rigidité de ses interlocuteurs, s’était exclamé : « Fichez nous la paix ! » (AFP, 3 octobre 2006).
En proposant aux Français des listes gaullistes Debout la République pour les élections européennes de juin, nous voulons seulement donner à la France les moyens de joindre un geste efficace à la parole avisée de ce ministre. Pour que le canard sans tête cesse enfin sa course vers le néant.
NDA
Commentaire de Ulm et Iéna (23/02/2009 17:05) :
Félicitations pour votre blog ... j'y retrouve mes idées, mes
inquiétudes aussi ! Pére de famille et commerçant, j'avoue que chaque
jour les décisions de l'Union européenne et de notre gouvernement
(devrais-je dire de notre président) m'alertent davantage. Hélas
certains oublient notre histoire et en particulier notre héritage gaulliste
.
Quant à voter pour une liste gaulliste , certes cela me paraitrait la
meilleure solution ... Mais ou se situe DLR ? Est - elle réellement
dansl'opposition à Nicolas Sarkozy ? Vous comprendrez mes hésitations
et mon désir d' une réponse claire car à ce jour mon choix oscille
entre DLR et des listes de gauchee ou les listes Debout la République.
Nombreux de mes amis se trouvent dans la même situation que moi à ce jour.
|
Commentaire de DLR1(Canal Historique) (24/02/2009 09:21) :
à Ulm et Iéna
N'ayez plus d'hésitations. Notre muvement ne se réclame ni de la
droite, ni de la gauche. Il se veut rassembleur et transcende les clivages
classiques qui n'ont d'ailleurs plus beaucoup de sens face au
danger de disparition complète que rencontre la France. Notre unique but
est de la sauver de ce péril et de reconstruire une Nation républicaine
forte et respectée de par le monde, une nation prospère et fertile, une
nation juste soucieuse des plus humbles, bref une nation voulut jadis par
nos ayeux, par les acteurs de la révolution française et plus prés de nous
par le général de Gaulle.
|
Commentaire de Koufra (24/02/2009 09:49) :
A Ulm et Iéna : il y a peu j’étais moi aussi dans l’incertitude… Puis j’ai
eu vent de l’existence de DLR et de Nicolas Dupont Aignan. J’ai suivi de
plus prés ses faits et gestes, j’ai lu ses livres et depuis, je sais pour
qui je voterai en Juin…. Je ne dis pas que DLR sera exempt de critiques
dans l’avenir, mais à ce jour, il est le seul crédible…
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Dans Le Monde, NDA défend le maintien de la France hors du commandement militaire intégré de l’OTAN
20/02/2009 23:04
Non à la France du renoncement !
par Nicolas Dupont-Aignan
Le Monde, 20 février 2009
Sans en avoir dit le moindre mot durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a solitairement décidé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l’OTAN, dont l’avait sortie le général de Gaulle en 1966.
Il avance trois arguments, mais aucun ne résiste à un examen sérieux. En premier lieu, la disparition de la menace soviétique justifierait ce retour dans l’OTAN. Argument bien étrange : la fin du pacte de Varsovie aurait dû, au contraire et depuis longtemps, permettre la redéfinition de l’Alliance atlantique dans le sens d’une émancipation de la défense européenne, certes partenaire des Etats-Unis, mais non plus sous tutelle. Devant la commission de la défense à l’Assemblée nationale, mardi 17 février, MM. Morin et Kouchner eux-mêmes ont d’ailleurs reconnu "qu’il faut réfléchir à l’avenir de l’OTAN". N’est-il pas plus sage et plus logique de le faire avant le retour complet dans l’OTAN qu’après ?
Les circonstances ont bel et bien changé. Mais cela souligne l’audace visionnaire du général de Gaulle : l’émergence d’un monde multipolaire. Il serait donc complètement contre-productif pour la France, qui a vu juste avant tout le monde, de se renier, notamment face aux pays émergents trop souvent qualifiés d’adversaires par la doctrine américaine du "choc des civilisations". Notre pays verrait sa position internationale diminuée, il se priverait d’une carte maîtresse vis-à-vis du monde comme de ses partenaires européens.
Deuxième argument : il vaut mieux être à l’intérieur qu’en dehors pour peser sur les décisions. Mais le départ de la France de l’OTAN, en 1966, fut motivé par le refus répété des Etats-Unis de partager le pouvoir en son sein. Aujourd’hui, les choses ont-elles vraiment changé ? Exception faite de deux petits commandements secondaires promis par Barack Obama, rien ne permet de le croire, au contraire. Et lorsque Nicolas Sarkozy a décidé d’envoyer des renforts français en Afghanistan, il a voulu faire croire que cela permettrait d’infléchir la stratégie américaine dans ce pays : il n’en est rien et on s’enfonce chaque jour davantage dans un bourbier.
"JEU DE DUPES"
Enfin, ce serait le seul moyen de faire "l’Europe de la défense". Mais à quoi bon, si celle-ci doit être une simple succursale de l’OTAN en Europe, et non un instrument autonome de sécurité au service de sa propre vision du monde ? Et comment convaincre nos voisins, dont l’appartenance à l’OTAN est le prétexte à négliger leur propre effort de défense, de s’investir dans une ambitieuse coopération militaire dès lors que le principal pays moteur, le nôtre, renoncerait à son tour ?
Ainsi, le "jeu de dupes" diplomatique que dénonçait récemment Alain Juppé n’est-il qu’un des aspects de la normalisation atlantiste de notre pays qui, dans les faits, renonce. "La volonté qu’a la France de disposer d’elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée", disait de Gaulle. Appliquez cette phrase, toujours pertinente, à l’actuelle politique présidentielle vis-à-vis de l’OTAN, et vous déduirez que l’acharnement de Nicolas Sarkozy à subordonner notre pays aux Etats-Unis signifie son renoncement à une France ayant la volonté et la capacité à disposer d’elle-même sur la scène internationale.
Preuve indiscutable, le chef de l’Etat aborde ce retour dans l’OTAN après avoir, en 2008, imposé un Livre blanc qui prévoit, en cinq ans, une diminution drastique de notre effort de défense à 1,2 % du PIB (hors pensions et budget de la gendarmerie), soit très loin derrière la Grande-Bretagne et à peine au niveau de l’Allemagne qui, pourtant, assume des obligations opérationnelles bien moindres que les nôtres.
Cessons de tourner autour du pot : le débat n’est pas technique, mais idéologique. En réalité, Nicolas Sarkozy fait partie de cette droite férocement atlantiste, en complet décalage avec le sentiment profond du peuple français auquel Charles de Gaulle avait rendu sa dignité. "Mon pays ce n’est pas la France, c’est la France libre", disait Romain Gary. Pour moi, c’est clair : la France soumise n’est pas et ne sera jamais la France.
Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essonne, président du rassemblement gaulliste Debout la République
Article paru dans l’édition du 21.02.09
Commentaire de Anthéa (23/02/2009 08:52) :
Dominique de Villepin a ouvertement critiqué l'alignement de la France
sur l'OTAN... Resterait-il des gaulliste à l'UMP ?
|
| |
|
|
|
|